17 avril 2010
"Le chemin qui va à la maison est plus beau que la maison"
« Il suffit ensuite de prendre la petite route de Secondigny, qui s'enfonce et s'enlace dans le paysage. Dans les années soixante dix, à l'époque de la glorieuse Dauphine, de nombreux jeunes perdirent la vie dans ces virages pour finir en beauté leur nuit de bal. Ensuite, la route grimpe un peu, surplombe toutes les collines qui se mêlent entre elles, au gré des cours d'eau, dessinent les contours sensuels d'un paysage amoureux de ses paysans. »
Publicité
Publicité
Commentaires
T
Z
L
M
G