17 avril 2010
Alexandre (suite)
« Il me corrigeais avec son accent saintongeais : « Jamais personne n’est vraiment victorieux d’une guerre. Surtout pas les soldats… La preuve : elle a recommencé vingt ans plus tard, plus cruelle si c’est possible, encore des morts, des bombardements, des villes et des pays entiers, de la ruine pas épaisse... La deuxième guerre a rabâché la Grande à devenir béante comme la mer. »
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